17 févr. 2010

DÉCORATION INTÉRIEURE


LE FUTRIN



Cette année encore, le futrin d’intérieur a été plébiscité par les acheteurs d’objet insolites et décoratifs. Il faut dire qu’avec ses nouvelles couleurs pastel et sa gamme très complète d’accessoires, le futrin rénové ne manque pas d’atouts. Surtout, sa taille a été repensée par ses deux concepteurs, Valérie d’Angulasse et Bernard Toucourt. 

« Nous avons voulu le rendre plus fonctionnel et plus urbain » nous expliquent les deux designers, avant d’ajouter :

« C’est vrai que les anciens modèles trouvaient d’avantage leur place dans le jardin ou sur la terrasse, c’est pourquoi nous avons réduit la taille des ouïes latérales et des réservoirs de graisse, ainsi que le longeron en teck qui soutien les deux hélices de plexiglas. L’ensemble est plus compact, mais les performances restent inchangées. »

A la rédaction, nous avons testé le modèle « Ambassador », et c’est vrai que le résultat fut à la hauteur de nos espérances : Les quatre rétro-balais jouent parfaitement leur rôle et, mis à part une imperceptible vibration au niveau des rotules lorsqu’on change d’accessoires -par exemple quand on remplace une bûchette par un peigne de trapéziste- l’ensemble est remarquablement équilibré et procure une sensation de confort et de bien-être immédiat. Que dire de plus, si ce n’est que la robustesse à toute épreuve des deux engrenages principaux laisse augurer une longévité hors norme, impression confirmée par la garantie de cinq ans qui accompagne chacun de ces engins uniques. On achète un futrin pour soi, mais aussi pour ses enfants et ses petits enfants. 

Le prix est le seul point faible de cette splendide invention : il faut compter débourser entre 2800 et 4000 nouveaux urils environ selon les options, mais comme le souligne Bernard Toucourt : « Quand on achète un futrin, on n’achète pas seulement un objet, on achète aussi du rêve ! »

 


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